Poutine et Ben Laden ne peuvent que nous remercier.
Tout le monde vit dans la hantise d’une nouvelle « crise de 1929 », mais personne ne sait vraiment ce qu’il en est
réellement. Pas de visibilité, pas de traçabilité : voilà ce qui caractérise une fois de plus cette énième crise financière aux effets moutonniers.